C'est ici le début de la seconde période de sa vie et de son œuvre. Heine part pour l'Université de Berlin, où il étudie de 1821 à 1823 et où il suivit les cours de Georg Wilhelm Friedrich Hegel. ». C'est dans la Judengasse (la rue des Juifs, la Juiverie) de Francfort qu'il découvrit alors l'oppressante existence des juifs dans les ghettos, une vie qui lui était, jusqu'alors, restée étrangère. Le chancelier autrichien Metternich intervient auprès de Cotta, pour que la Allgemeine Zeitung arrête la série d'articles et ne publie plus le chapitre IX, écrit par Heine. In de online winkel van heine ontdekt u de diverse wereld van de vrouwenmode. Ses poèmes romantiques et souvent proche du style du Volkslied, les poèmes de Heine sont mis en musique (voir ci-dessous) - en premier lieu le Livre des Chants. Heine reconnaissait la misère de la classe ouvrière naissante et soutenait ses revendications. Il décrit ainsi, dans les vers d'introduction, une scène juste après le passage de la frontière, où une jeune fille chante un air pieux, sur une harpe, « avec de vrais sentiments et une fausse voix »[44] : « Elle chantait le chant du vieux renoncement,Le tra-la-la du paradisAvec lequel, quand il pleurniche, on assoupitLe peuple, ce grand malappris.J'en connais la mélodie, j'en connais les paroles,Je connais même Messieurs les auteurs ;Je sais, qu'en secret, ils buvaient du vinEt prêchaient l'eau à leurs auditeurs.Je veux vous composer, mes amis,Un chant nouveau, ce qu'il y a de mieux !Nous voulons déjà, ici-bas sur terre,Fonder le royaume des cieux.Nous voulons être heureux sur terre,Et cesser d'être dans le besoin ;Le ventre paresseux ne doit pas digérerLe produit du dur labeur de nos mains. Heine, pour sa part, ne rencontra que peu de compréhension et pas plus de soutien public pour son procédé. L'ensemble de l'œuvre de Heine est marquée par ses efforts pour être un artiste au-dessus des partis. En 1958, la ville de Wuppertal inaugura un nouveau monument dans le Von-der-Heydt-Park (de). En 1846, il est même déclaré mort. Si j'ai, sans le savoir, offensé les bonnes mœurs et la morale, essence véritable de toutes les religions monothéistes, alors j'en demande pardon à Dieu et aux hommes. Pour les autres membres de la famille, voir, Mariage, voyage en Allemagne et conflit successoral, Réception controversée jusqu'après-guerre, Réception par les écrivains et les journalistes, Verein für Cultur und Wissenschaft der Juden, « avec de vrais sentiments et une fausse voix », « une harangue aux pauvres parmi le peuple, au ton séditieux et remplie de propos criminels », « os à moelle que le boucher, content de son client, lui glisse dans le panier, en guise de cadeau », « de délicieux bouillons, qui, pour un pauvre malade languissant, constituent un festin tout à fait bénéfique », Discography of American Historical Recordings, International Music Score Library Project, Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes. Ce n'est que depuis 1989 que l'université s'appelle Heinrich-Heine-Universität. Börne voyait de l'opportunisme dans cette attitude. Avec cette controverse pour savoir si, et à quel point, un écrivain peut être partial, Heine et Börne annoncent des polémiques à venir sur la morale politique en littérature, telles que celles qui, au XXe siècle ont opposé Heinrich et Thomas Mann, Gottfried Benn et Bertolt Brecht, Georg Lukács et Theodor W. Adorno, Jean-Paul Sartre et Claude Simon. Des mots ! En 2006, le gouvernement bavarois a approuvé l'entrée de Heine dans ce « panthéon », qu'il avait lui-même qualifié, de façon ironique, de « cimetière pour crânes de marbre ». Trois jours plus tard, il est enterré au cimetière de Montmartre. The tune is both miraculous There are the sirens of Greek legend, the rusalka of Slavic folklore, and la llorona in South American stories. Heine s'entendait aussi à égratigner la censure, à laquelle étaient soumises toutes ses publications en Allemagne, comme en 1827, dans Le Livre Le Grand, avec le texte suivant, prétendument censuré : « Les censeurs allemands —— —— —— —— Notify me of follow-up comments by email. Depuis 1982, une nouvelle statue de Heine, du sculpteur Waldemar Otto (de), se trouve sur le Rathausmarkt[72],[73]. […], La pensée précède l'action comme l'éclair le tonnerre. Heine a d'abord accordé beaucoup d'importance à ses tragédies Almansor et William Ratcliff, elle n'ont cependant aucun succès. En 1816, durant son séjour hambourgeois, Heine publia ses premiers poèmes (Un rêve, certes bien étrange, De roses, de cyprès) dans la revue Hamburgs Wächter, sous le pseudonyme de « Sy. De ce point de vue, il regarde la révolution parisienne de février et ses répercussions avec un scepticisme grandissant. Dans Almansor apparaît son premier propos politique : « Ce n’était qu’un début. Durant toute sa vie, Heine admire l'Empereur pour l'introduction du Code civil, qui fit des juifs et des non-juifs des égaux aux yeux de la loi. Depuis quatre ans, j'ai renoncé à tout orgueil philosophique et suis revenu vers des idées et des sentiments religieux ; je meurs dans la croyance en un Dieu unique, le créateur éternel de ce monde, dont j'implore la miséricorde pour mon âme immortelle.